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De même que le soja est partout,
l'anosmie et ses variantes
sont
partout. Il ne s'agit pas
d'une tentative de
généralisation forcenée pour imposer
mon
idée. C'est une conviction. Je peux me tromper ou simplement
exagérer le problème. Mais je crois que justement
il est
minoré ou ignoré. Et pas forcément
avec une
intention ou un but précis, plutôt par
indifférence
et réticence à devoir changer de vieilles
routines ou
habitudes. L'anosmie est partout ou du moins très
fréquente. Mais le plus souvent ignorée. Qu'elle
soit
congénitale, où elle est ignorée par
les
anosmiques pendant très longtemps, jusqu'à
l'école
où il devient alors impossible de ne pas la remarquer, de ne
pas
se
faire remarquer; qu'elle soit consécutive à la
rencontre
d'un virus, où elle ne dure éventuellement que le
temps
de se débarrasser du virus, voire un peu plus longtemps;
qu'elle
soit l'effet d'une congestion et ne dure que le temps de la congestion;
quelle soit la conséquence d'un traumatisme cranien; des tas
de
circonstances font qu'on se trouve sans odorat pendant des
périodes généralement
brèves ou moins
brèves mais dont on s'accommode où auxquelles on
se
résigne. L'anosmie est une expérience extrèmement banale. Ce qui ne l'est pas c'est qu'elle puisse durer. Alors on réalise la perte qu'on a subi et on a peur que cette perte ne devienne permanente. Lorsqu'il s'agit de distortions ou d'odeurs fantômes, le trouble n'a plus besoin d'être permanent pour être inquiétant. Il peut arriver et arrive n'importe quand ou à l'occasion d'événements hypothétiques difficiles à cerner et plus encore à prévoir. On n'ose plus accepter une invitation dans un lieu public où on craint de voir survenir une crise qui nous pousse à faire des manoeuvres de protection qui n'ont rien de civil ou provoquent l'étonnement, l'hilarité, la consternation ou pire, l'agacement ou le mépris. Partout donc mais on n'y prend pas garde la plupart du temps ou on le nie pour toutes les raisons imaginables. Mais souvent c'est plutôt une bénédiction. Comme dans toutes les occasions où on n'a pas à se plaindre des mauvaises odeurs ambiantes ou des haleines désagréables. On ne se dit pas "Tien! ça devrait puer par là." On se contente de retenir son inspiration un moment. La plupart des hyposmiques s'ignorent. Pourquoi se plaindraient-ils. Ce sont les hyperosmiques qui se plaignent et les anosmiques de "fraîche date". Les dysosmiques s'ignorent aussi lorsque les odeurs fantômes ne sont pas trop absurdes ou intempestives. Mes phantosmies et dysosmies étaient plutôt amicales elles me soumettaient parfois à un étonnement mais rarement à un dégoût. Des odeurs agaçantes ou non conforme à la réalité des effluves, jamais affolantes dans leur nature, si on ne connaît que ça (et je dis que c'est tout le monde) on n'a pas de raison de s'alarmer. Et puis les normosmiques ignorent tellement tout du sens olfactif du fait qu'il été réprimé depuis le plus jeune âge et depuis les deux derniers siècles, qu'il faut une grande modification de leur sens olfactif pour ou de leur environnement pour qu'ils s'en rendent compte. Et il y a autant une nécessité de vouloir sentir que de ne pas vouloir. Et on ne sent pas vraiment passivement. Il faut sniffer pour vraiment sentir. Complètement passif le sens de l'odeur s'émousse très vite. J'ai longtemps pris pour réelles des émanations de gasoil parce que elles n'étaient pas impossibles, même quand j'étais seul à les sentir, parce qu'il y avait de bonnes raison pour qu'il put y en avoir. Mais quand quelques temps plus tard je me trouvais dans des endroits où il ne pouvait pas y en avoir et que j'avais les mêmes sensations, j'ai bien compris que quelque chose de mon olfaction fonctionnait dans l'erreur. Je ne prétend pas du tout que l'anosmie soit toujours l'effet du soja. Je dis simplement qu'elle est très fréquente et que la présence du soja est très présent dans notre alimentation et notre environnement. Naturellement il ne faut pas croire tout ce que disent les commerçants ni les fournisseurs ou les producteurs. Mais là par exemple >>>>>> on trouve des bougies qui ont la prétention d'avoir un effet hormonal (dans un usage normal!) Je pense que le soja est souvent responsable des anosmies et qu'il a une action sur l'odorat, même sur les "non" anosmiques. Naturellement mes preuves (5 personnes dont moi au 31 juillet 2007) rendues anosmiques par le soja, ce n'est pas suffisant pour dire que c'est confirmé. Mais c'est loin d'être anecdotique et si le soja peut avoir cet effet on peut imaginer que d'autres toxiques peuvent avoir un effet perturbateur sur l'olfaction. Je veux dire d'autres produits généralement considérée comme sains. Tant qu'on n'a pas prouvé qu'un produit n'est pas toxique on ne peut pas dire qu'il ne l'est pas. Mais apparemment on peut le faire passer pour GRAS. L'amiante n'était pas considérée comme toxique pendant des décennies puis elle l'a été et il a fallu des décennies pour quelle soit bannie. Il est évident qu'il y a la place dans le système actuel pour permettre l'usage de tas de toxiques alimentaires et autres. Je suis simplement tombé sur un toxique pour lequel j'ai découvert un nouvel effet délétère. Car des effets délétères du soja on en connaît toutes sortes, ce qui n'empêche pas des cohortes de décideurs, de scientifiques et de lobbyistes de le promouvoir de la façon la plus éhontée, décomplexée pour reprendre un terme d'un sinistre politicien libéral. Et cet effet non encore reconnu n'est pas simplement un effet de plus mais devrait donner des pistes et des idées sur la nature de l'olfaction dans un temps où on se rend compte qu'elle est curieusement moins connue que les autres sens. Le soja est au départ un toxique qui ne perd qu'une partie de sa toxicité et seulement après de très compliquées et nombreuses modifications (pas seulement de la cuisson). L'olfaction est très mal connue et très mal comprise et d'autant plus mal que le monde odorant a été bouleversé depuis le 17ème siecle ? avec les travaux d'assainissement des villes, des zones de marécage et le commencement des grandes politiques d'hygiène public puis depuis le début du 20ème siècle avec l'énorme progresion de la chimie organique. Mais paradoxalement c'est aussi à cause de cette progression qu'elle est devenue très obscure. Comme plus aucune nourriture n'a encore son goût naturel (mais évidement on peut contester l'existence d'un goût naturel). Comme presque tous les environnements ont été modifié dans leur caractéristiques olfactive soit par accident ou négligence soit avec une intension d'amélioration ou de désodorisation, comme il y a une sorte d'imperatif de dissimulation de toute odeur humaine ou de modification du "naturel" dans l'humain, comme l'odeur propre est "habillée" de senteurs ajoutés comme des vêtements au corps nu, il y a une très grande confusion dans l'appréhension des notions de l'odorat. C'est une confusion à laquelle viennent s'ajouter la confusion verbale des modes, des jargons, des préjugés, des techniques, des sciences, de tous les groupes sociaux, de toutes les coteries. | Cette
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Des
définitions de l'anosmie on
en trouve beaucoup. Pas besoin de moi pour ça. J'en donnerai
quelques unes pourtant.
Ce n'est qu'entre 55 et 60 ans que
le phénomène s'est amplifié et que
j'ai vraiment
réalisé que je perdais l'odorat.
C'était labile
comme avant mais de plus en plus souvent et de plus en plus
marqué. Jusqu'à 2003 où j'ai presque
totalement
perdu l'odorat. Disons que quelques instants par-ci par-là
dans
la journée j'avais certains jours des sensations olfactives
cohérentes et le reste du temps rien du tout ou des odeurs
« délirantes ».
Ça n'a jamais
été des odeurs persécutantes comme de
nombreux
anosmiques en connaissent. Le supplice n'était pas
là. Il
était dans la perte de l'odorat et ce que cela signifie
comme
appauvrissement de la qualité de la vie. Et le pire,
l'horreur a
été de découvrir que la
médecine
était complètement indigente sur le sujet
malgré
quelques découvertes tonitruantes sur les gènes
olfactifs
des souris. L'horreur parce que lorsque vous cherchez sur internet,
vous tombez aussi très vite sur les signes
précurseurs du
syndrome d'Alzheimer et quelques autres joies de ce genre. Le signe c'est lorsque vous pleurez parce que votre partenaire n'a plus d'odeur, que vous n'avez plus d'odeur, que ce que vous mangez est insipide, que dans vos déplacements vous n'avez plus aucun repère olfactif... C'est une horrible expérience. Donc pour moi : dysosmie, parosmie et anosmie. Anosmie pratiquement complète de 2003 à 2005 jusqu'à ce que je trouve mon toxique. Après quoi j'ai étudié la question. Et depuis je suis très en colère. Google pour Soja Anosmie | En
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Kaayla T. Daniel, PhD, CCN | ||
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